IA et durabilité : puissance technologique ou poids écologique ?

IA et durabilité : puissance technologique ou poids écologique ?

En amont du Sommet pour l’action sur l’Intelligence Artificielle, l’Institut Choiseul a eu le plaisir de réunir experts et décideurs pour un échange essentiel sur l’impact environnemental de l’IA.

En plein essor, l’IA générative est bien plus qu’un moteur de croissance : elle peut révolutionner l’efficacité énergétique et soutenir des initiatives de développement durable. Mais son déploiement à grande échelle repose sur un traitement massif de données et une puissance de calcul considérable. Entraînant une consommation accrue d’énergie, d’eau et de ressources naturelles. Face à ces enjeux, la question du coût environnemental devient incontournable pour producteurs et utilisateurs.

Pour approfondir cette réflexion, nous avons eu le plaisir d’accueillir :

Le Sommet pour l’action sur l’Intelligence Artificielle, qui réunira chefs d’État, dirigeants d’entreprises, chercheurs et représentants de la société civile, vise à poser les bases d’une IA éthique et durable, conciliant innovation et responsabilité. Dans cette dynamique, il s’inscrit dans la continuité du lancement de l’Observatoire sur l’impact environnemental de l’IA, une initiative portée par Capgemini Invent, l’École normale supérieure et l’Institut “IA & Société” de l’ENS, dont la mission est d’évaluer l’empreinte environnementale de l’IA et de proposer des solutions concrètes pour un usage plus responsable.

Un grand merci à Charlie Perreau pour sa modération ainsi que nos intervenants pour leurs analyses !